Pas tellement qu'elle s'intéresse aux bagnoles, ni même aux vieilles bagnoles.
Mais voilà, elle était hier dans un très chic - et très vilain - hôtel bruxellois, en train d'interviewer un excellent romancier français, journaliste aussi, mais cela n'a rien à voir.
Micro, bloc-notes, bic, tout allait bien quand, tout d'un coup, une désagréable odeur d'essence.
A l'intérieur de l'hôtel!
Rien à voir avec le feu de toiture qu'il avait subi il y a quelques mois.
Impossible d'arrêter la conversation, pas question de se retourner.
Que se passait-il dans son dos?
La réponse est venue de l'interviewé: "Ne bouge pas, une voiture passe derrière toi."
Oui, dans le couloir de l'hôtel.
C'était la Studebaker en question.
Le modèle? Euh, années 50, dirait-elle.
(c) Roberto Frankenberg. |
Micro, bloc-notes, bic, tout allait bien quand, tout d'un coup, une désagréable odeur d'essence.
A l'intérieur de l'hôtel!
Rien à voir avec le feu de toiture qu'il avait subi il y a quelques mois.
Impossible d'arrêter la conversation, pas question de se retourner.
Que se passait-il dans son dos?
La réponse est venue de l'interviewé: "Ne bouge pas, une voiture passe derrière toi."
Oui, dans le couloir de l'hôtel.
C'était la Studebaker en question.
Le modèle? Euh, années 50, dirait-elle.
Pas d'accident, au moins?
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