Ce jeudi 27 octobre marque l'ouverture de la saison des prix littéraires, après certes quelques galops d'échauffement.
C'est l'Académie française qui a ouvert le bal, comme souvent, avec le Grand Prix du roman.
Elle vient de le décerner à Sorj Chalandon pour "Retour à Killybegs", le cinquième et très beau roman de l'ancien journaliste de "Libération", aujourd'hui au "Canard enchaîné", un livre paru comme tous les précedents chez Grasset.
C'est l'Académie française qui a ouvert le bal, comme souvent, avec le Grand Prix du roman.
Elle vient de le décerner à Sorj Chalandon pour "Retour à Killybegs", le cinquième et très beau roman de l'ancien journaliste de "Libération", aujourd'hui au "Canard enchaîné", un livre paru comme tous les précedents chez Grasset.
Bon, tous les académiciens n'étaient pas présents sous la Coupole en ce jeudi ensoleillé, loin de là. On se rappellera que quatre des quarante fauteuils ont perdu récemment leurs occupants.
Mais le vote des présents a été sans ambiguïté.
Sorj Chalandon est passé haut la main au premier tour, par treize voix, contre quatre à Laurence Cossé, auteur du roman "Les amandes amères" (Gallimard), et deux à Jean Rolin qui a écrit "Le ravissement de Britney Spears" (P.O.L.). Un vote blanc a également été comptabilisé.
Demain, ici même, un entretien avec le lauréat.
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