Du coup, elle pensait à l'album illustré par Joëlle Jolivet portant ce titre, "Rapido dans la ville" (texte de Jean-Luc Fromental, le complice de la graveuse en littérature de jeunesse).
Le livre est publié chez Hélium, une petite maison intéressante qui fait son petit bonhomme de chemin et se définit de cette manière:
Il n'y a plus qu'à répondre.
On suit ainsi les quinze étapes de livraison de la camionnette rouge. Et chaque lecteur tente de remettre lui aussi les colis à leurs destinataires.
En route, on traverse toute la ville que présentent les planches, presque raccord entre elles. Et on découvre toutes les petites histoires qui se déroulent en marge de la principale. Mais pour cela, il faut bien regarder. Une chose que les enfants font naturellement et qui s'effrite malheureusement avec les années qui passent.
Rapido passe partout: le pont, le port, le marché aux poissons, le cinéma, le théâtre et la mairie, le grand magasin, l’école et le square, l’hôpital, la caserne de pompiers et la gare, les maisons anciennes et les immeubles récents, le garage Jolivet et le supermarché, l’autoroute et la proche banlieue.
Et si on regarde bien, on verra aussi dans chacune des images un scooter au pilote vêtu d’une marinière lignée, qui ressemble furieusement à Gérard L. M.
Ceci n'est pas la première collaboration réussie de Joëlle Jolivet et Jean-Luc Fromental.
On se souvient avec joie des "365 pingouins" (alors chez Naïve) et de ses déclinaisons (désormais chez Hélium)
On se rappelle aussi de "Oups!" (Hélium), l'effet papillon appliqué à une savonnette!
Le livre est publié chez Hélium, une petite maison intéressante qui fait son petit bonhomme de chemin et se définit de cette manière:
"hélium, c'est léger, très léger..."Rapido dans la ville" est un album qui se présente sous forme de doubles pages. Sans texte? A première vue oui. Mais pas quand on y regarde de plus près. Certains bâtiments de la ville abritent des rabats, qui, soulevés, posent des questions devinettes en vers.
Il n'y a plus qu'à répondre.
On suit ainsi les quinze étapes de livraison de la camionnette rouge. Et chaque lecteur tente de remettre lui aussi les colis à leurs destinataires.
En route, on traverse toute la ville que présentent les planches, presque raccord entre elles. Et on découvre toutes les petites histoires qui se déroulent en marge de la principale. Mais pour cela, il faut bien regarder. Une chose que les enfants font naturellement et qui s'effrite malheureusement avec les années qui passent.
Rapido passe partout: le pont, le port, le marché aux poissons, le cinéma, le théâtre et la mairie, le grand magasin, l’école et le square, l’hôpital, la caserne de pompiers et la gare, les maisons anciennes et les immeubles récents, le garage Jolivet et le supermarché, l’autoroute et la proche banlieue.
Et si on regarde bien, on verra aussi dans chacune des images un scooter au pilote vêtu d’une marinière lignée, qui ressemble furieusement à Gérard L. M.
Ceci n'est pas la première collaboration réussie de Joëlle Jolivet et Jean-Luc Fromental.
On se souvient avec joie des "365 pingouins" (alors chez Naïve) et de ses déclinaisons (désormais chez Hélium)
(D'autres histoires de pingouins sont annoncées pour le mois d'octobre)
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