... ou la blague du dimanche soir.
On s'en est pris plein la figure ce week-end, en informations tragiques.
Alors, trois secondes de sourire ne peuvent faire que du bien.
Il y a peu, je vous présentais le pétillant récit "On ne s'en fait pas à Paris", de Boris Moissard et Philippe Dumas (l'école des loisirs, 160 pages), contant superbement le demi-siècle d'édition de la maison parisienne (lire ici).
Un demi-siècle officiellement, mais bien plus dans la réalité puisque l'école des loisirs est en quelque sorte venue s'accrocher en 1965 aux éditions de l'Ecole, fondées en 1922 par Raymond Fabry. Ces maisons ont toujours appartenu à la même famille même si, de génération en génération, les noms des directeurs ont changé, notamment quand les beaux-fils sont entrés dans la danse. En résumé, on a différentes générations de Roussille, Delas, Fabry et Fabre. Et beaucoup d'hommes prénommés Jean.
Pas facile de s'y retrouver, et j'avais déjà souri devant une annonce, rectifiée par la suite, de Culturebox.
Et paf, en ouvrant "Le Soir" de Bruxelles de ce week-end, la même boulette. Jean Delas devient l'arrière grand-père de Louis Delas alors qu'il en est tout simplement le père. C'est pas grave mais à répétition, cela devient encore plus drôle.
Donc, pour les cent ans de l'école des loisirs, merci de prévoir un arbre généalogique complet des familles aux manettes de l'école des loisirs.
On s'en est pris plein la figure ce week-end, en informations tragiques.
Alors, trois secondes de sourire ne peuvent faire que du bien.
Il y a peu, je vous présentais le pétillant récit "On ne s'en fait pas à Paris", de Boris Moissard et Philippe Dumas (l'école des loisirs, 160 pages), contant superbement le demi-siècle d'édition de la maison parisienne (lire ici).
Un demi-siècle officiellement, mais bien plus dans la réalité puisque l'école des loisirs est en quelque sorte venue s'accrocher en 1965 aux éditions de l'Ecole, fondées en 1922 par Raymond Fabry. Ces maisons ont toujours appartenu à la même famille même si, de génération en génération, les noms des directeurs ont changé, notamment quand les beaux-fils sont entrés dans la danse. En résumé, on a différentes générations de Roussille, Delas, Fabry et Fabre. Et beaucoup d'hommes prénommés Jean.
Pas facile de s'y retrouver, et j'avais déjà souri devant une annonce, rectifiée par la suite, de Culturebox.
Et paf, en ouvrant "Le Soir" de Bruxelles de ce week-end, la même boulette. Jean Delas devient l'arrière grand-père de Louis Delas alors qu'il en est tout simplement le père. C'est pas grave mais à répétition, cela devient encore plus drôle.
Donc, pour les cent ans de l'école des loisirs, merci de prévoir un arbre généalogique complet des familles aux manettes de l'école des loisirs.
ah ah ah ! Les Jean ont ri ou pleuré ??? Qu'en ont dit ceux qui restent ???
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