C'était fin septembre à Moulins, le formidable deuxième Festival des illustrateurs, organisé par l'exquise Nicole Maymat et son équipe de choc, efficace et charmante.
Une journée professionnelle le vendredi, douze expos enthousiasmantes disséminées dans la ville, leurs auteurs présents ou représentés, disponibles pour des rencontres avec le public, des dédicaces et... des interviews.
Deux étudiants de l'Ecole Estienne à Paris, accompagnés par leur professeur Camille Scalabre, avaient la mission de filmer divers illustrateurs auxquels je posais des questions, sachant que ces reportages atterriraient après montage sur le site de Ricochet.
Première mise en ligne il y a quelques jours, l'entretien avec Joëlle Jolivet. Il faut cliquer sur le lien pour arriver à la vidéo et à d'autres liens intéressants. Celle qu'on ne voit pas, mais qu'on entend poser ses questions, ou rire, c'est moi.
La linograveuse raconte ce qui était alors son dernier album paru, "Costumes" (Les Grandes Personnes). Depuis, vient de sortir l'album "Le tigre de miel" (texte de Karthika Naïr, traduit de l'anglais par Dominique Vitalyos, Hélium).
Dans l'entretien, Joëlle Jolivet parle de dessiner dans le noir. En réalité, elle fait allusion au concert des Bratsch qui a eu lieu la veille au soir et auquel elle a assisté.
Il faisait tout noir dans la salle mais quelle importance pour elle?
Voici quelques croquis réalisés lors de ce concert qui a enchanté le public.
D'autres sur le blog de Joëlle Jolivet.
Le plus fou, c'est que je n'étais pas au concert mais que j'ai reconnu les Bratsch le matin à l'hôtel tout simplement parce que j'avais vu les "dessins dans le noir" de Joëlle.
Une journée professionnelle le vendredi, douze expos enthousiasmantes disséminées dans la ville, leurs auteurs présents ou représentés, disponibles pour des rencontres avec le public, des dédicaces et... des interviews.
Deux étudiants de l'Ecole Estienne à Paris, accompagnés par leur professeur Camille Scalabre, avaient la mission de filmer divers illustrateurs auxquels je posais des questions, sachant que ces reportages atterriraient après montage sur le site de Ricochet.
Première mise en ligne il y a quelques jours, l'entretien avec Joëlle Jolivet. Il faut cliquer sur le lien pour arriver à la vidéo et à d'autres liens intéressants. Celle qu'on ne voit pas, mais qu'on entend poser ses questions, ou rire, c'est moi.
La linograveuse raconte ce qui était alors son dernier album paru, "Costumes" (Les Grandes Personnes). Depuis, vient de sortir l'album "Le tigre de miel" (texte de Karthika Naïr, traduit de l'anglais par Dominique Vitalyos, Hélium).
Dans l'entretien, Joëlle Jolivet parle de dessiner dans le noir. En réalité, elle fait allusion au concert des Bratsch qui a eu lieu la veille au soir et auquel elle a assisté.
Il faisait tout noir dans la salle mais quelle importance pour elle?
Voici quelques croquis réalisés lors de ce concert qui a enchanté le public.
D'autres sur le blog de Joëlle Jolivet.
Le plus fou, c'est que je n'étais pas au concert mais que j'ai reconnu les Bratsch le matin à l'hôtel tout simplement parce que j'avais vu les "dessins dans le noir" de Joëlle.
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